La Psycho Nutrition
La Psycho Nutrition relève d’une approche globale. Elle est le fruit des apports conjugués de la nutrition, et des thérapies cognitivo-comportementales.
La pratique a été créée à la faveur de nombreuses études effectuées par les neuroscientifiques sur les besoins essentiels du cerveau.
La Psycho Nutrition qu'est-ce que c'est ?
L’angle des recherches visait, non seulement le traitement des symptômes, mais plutôt la compréhension des causes des réactions psychiques et comportementales. Par exemple, on vous aidera à identifier pourquoi vous mangez trop ou mal, alors que le marchand de régime ne s’attaquera qu’au poids, qui en est la conséquence.
Les messagers chimiques du cerveau dans notre vie moderne
J’ai donc choisi d’appuyer toute ma pratique sur les découvertes des neurobiologistes. Ils nous révèlent l’impact phénoménal que la nutrition optimale de notre cerveau peut avoir sur notre énergie, la qualité de notre vie, et nos performances.
Selon ces spécialistes du lien corps-cerveau-esprit, tous nos problèmes (baisse des facultés physiques et intellectuelles, troubles de l’humeur, angoisses, addictions, comportements compulsifs, et problèmes de sommeil), s’expliquent par un déséquilibre de nos neurotransmetteurs, appelés aussi neuromédiateurs, ou hormones.
En simplifiant, il s’agit des messagers chimiques qui font passer les informations d’un neurone à un autre.
Le mot « hormone » vient du mot Hermès.Dans la mythologie grecque, Hermès est Dieu du Commerce, dieu du Vent, et le messager des Dieux de l’Olympe, donneur de chance. Il est l’inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il guide les héros.
Notre personnalité, nos émotions, notre poids, notre santé, et notre longévité dépendent de leur niveau et équilibre.
Or, depuis « 30 ans, les changements dans notre façon de vivre, de travailler et de nous alimenter, ont eu des répercussions immédiates sur les signaux électriques dans notre cerveau, déséquilibrant la production de nos neurotransmetteurs, et impactant, par rebond, notre organisme, notre intellect, nos comportements et nos émotions.
La liste des « perturbateurs » est longue : pollution ambiante, produits chimiques dans la maison, pesticides sur nos fruits et légumes, consommations excessive de boissons, sucreries, et aliments industriels remplis de conservateurs, ondes (ordinateurs, téléphones, micro-ondes,…), stress chronique, images choc à la télévision,…
Ces carences ou déséquilibres de nos principaux neurotransmetteurs sont à l’origine :
- Des troubles et déficit de l’attention, de la mémoire et des capacités de concentration,
- grignotage, comportements addictifs, notamment compulsion pour le sucre. Mais aussi tabagisme, et alcoolisme,
- repli sur soi, perte de créativité, des difficultés à rebondir et trouver des solutions,
- stress chronique, douleurs chroniques, migraines, irritabilité,
- état dépressif, difficultés à faire des choix, manque de confiance en soi.
Selon les neurobiologistes, un diagnostique tardif de ces carences, ou le défaut de rééquilibrage, peuvent conduire, à long terme, à des désordres plus graves, impactant l’organisme, son système immunitaire, cardio-vasculaire, ou digestif.
Comment optimiser la production de vos neurotransmetteurs ?
Des tests d’évaluation existent, sous forme de questionnaire, mis au point par les neurobiologistes.
Je les mettrai à votre disposition, lors de votre entretien. Ils nous donneront une mesure indicative du niveau des carences qui pourraient être à l’origine de vos problèmes.
A l’analyse des résultats, nous pourrons mettre en place une stratégie, dont l’objectif prioritaire est d’apporter à votre cerveau la pleine satisfaction de ses besoins essentiels :
- une bonne alimentation, saine, variée et colorée, qui vont stimuler la production de vos neurotransmetteurs. Ils sont à l’homme ce que les engrais sont à la plante dont on prend soin.
- prendre du temps pour vous : repos, sommeil, détente,…
- bouger, faire de l’exercice physique,
- avoir aussi des activités ludiques,
- intégrer à votre quotidien des méthodes anti-stress, qui recentre votre cerveau.
C’est la stratégie gagnante pour :
- améliorer ainsi votre moral,
- développer un mental fort,
- être adaptable et créatif,
- augmenter vos chances d’être en meilleure santé,
- et vivre plus longtemps.
Je suis Nutritionniste Comportementale.
Mon approche de la nutrition repose sur deux formations.
D’une part, une formation thérapie Cognitive et Comportementale, ce qui signifie que, pour moi, chaque personne est unique et que ma démarche est totalement personnalisée et centrée sur vous.
D’autre part, une formation de nutritionniste/ micro-nutritionniste. Ce savoir là, je le mets au service de votre information ou de l’éducation du public, pour que chacun puisse faire ses propre choix de mangeur en connaissance de cause.
A cause de ces deux formations peut-être, je n’aime pas qu’on réduise l’alimentation à une histoire de calories, alors qu’il se passe tant d’autres choses, lorsqu’on mange : il y a de la vie, du bonheur, du plaisir, de la transmission, de la convivialité, du réconfort… Et parfois, de la tension, de la peine, de la frustration, de la culpabilité, de la compensation…
Au quotidien dans ma pratique, je m’applique à faire ressortir le lien qui se tisse entre la façon dont on mange et la manière dont on est, on vit, on se comporte. Ma démarche consiste donc à tenter de comprendre ce lien et le rétablir auprès des personnes pour lesquelles il s’est rompu.
Mon objectif est de vous réconcilier avec votre alimentation et votre corps.
Vous vous posez des questions sur ma pratique ?
Vous vous demandez ce qu’est mon métier, ma « méthode », combien de séance il faut « compter », si je donne des « régimes »… Je n’ai pas de réponse toute faite à ces questions. Chaque individu est différent, particulier, spécifique. Mon métier de nutritionniste comportementale, c’est d’amener chaque individu à devenir un mangeur autonome, libre de ses choix, heureux dans son corps.
Comment ça se
passe ?
C’est une démarche, pas une méthode. Cela prend le temps que cela doit prendre, à raison d’un rendez-vous toutes les trois ou quatre semaines, cela dépend des gens et on en discute ensemble. Rien n’est figé, vous n’êtes pas prisonnier, vous est libre de venir et de revenir. Je ne donne pas de régime parce que je pense, et je sais qu’un régime restrictif, privatif et infantilisant, ne fait pas avancer sur la question du poids et ne calme pas le rapport qu’on a avec l’alimentation. En revanche, j’informe, je guide, je chasse les idées reçues, je vous outille pour que vous puissiez faire des choix en toute liberté et aller vers le corps que vous voulez avoir, se réconcilier avec, perdre autant de kilos que vous pourrez, sans pour autant vous perdre.
C’est donc à deux que nous allons avancer sur une frontière invisible entre nutrition et la thérapie. Entre ce qu’on met dans son assiette, dans sa bouche, et l’impact que cela peut avoir sur l’estime de soi, la confiance en soi, sur son corps, sur son poids et sur la perception qu’on en a. Nous allons parcourir ensemble l’alimentation et le poids depuis le début des problèmes (et même avant), en retraçant l’histoire, la façon dont les choses se sont crispées… L’impact des attentes déçues d’une mère, d’un père, les moqueries d’autres enfants, le regard juge d’un amoureux… Les sources sont nombreuses, en provenance de personnes bien intentionnées ou pas, mais qui abîment le regard que l’on porte sur soi.
A qui s’adresse cette méthode ?
Depuis 20 ans, j’ai rencontré différentes personnes et leurs problématiques ne sont jamais exactement les mêmes :
b depuis l’âge de 15 ans, qui a pris de nombreux kilos au fil de sa vie, qui ne supporte même plus le mot « régime », qui ne peut plus monter sur une balance mais qui voudrait enfin (re)trouver un poids qui lui convienne…
La personne en fort surpoids, installé depuis toujours, avec des douleurs et des contraintes physiques qui lui rappellent tous les jours qu’elle est trop lourde.
La femme enceinte, ou qui vient d’accoucher, et qui souhaite apprendre à « bien » manger, pour elle et pour son bébé.
La personne compulsive, qui vit son problème (souvent) dans le secret et la culpabilité.
Celle qui n’a pris qu’1 ou 2 kilos par rapport à son poids habituel, mais qui les vit comme insupportables et n’aime plus ça silhouette .
La petite mangeuse qui ne trouve pas son rythme dans notre fonctionnement à trois repas par jour.
Tous ceux qui sont pétris d’idées reçues par rapport au poids et qui sont en décalage avec leurs envies, leurs besoins… Et puis tous les autres, avec toutes les subtilités personnelles que cette liste ne rend évidemment pas…
Combien ça coûte et comment est-ce remboursé ?
Une séance coûte 70 euros,… Elle dure 1 h. Les séances sont espacées d’environ 1 mois. Ce sont des séances qui ne sont donc pas pris en charge par la sécurité sociale, mais par certaines mutuelles.
Comment se déroule une séance par skype?
Peut être que pour différentes raisons vous ne souhaitez pas ou ne pouvez pas vous déplacer. Dans ce cas, je vous propose des séances par téléphone avec whats app ou par Skype. Puisque nos échanges sont exclusivement verbaux, nous pouvons parfaitement cheminer ensemble, en face-à-face, mais à distance. En terme pratique, ça veut dire quoi ? Vous devez pouvoir vous octroyer un temps d’intimité : être seul, en sachant que vous ne serez pas dérangé, afin de pouvoir vous livrer en toute tranquillité. Vous devez avoir un ordinateur équipé d’une caméra, pour Skype, ou un téléphone qui permet de faire du Face Time. Vous pouvez également juste avoir un téléphone, pour des raisons pratiques ou si vous n’aimez pas l’image. Parfois, cette distance imposée par le téléphone laisse la place à une parole plus libérée… Cela dépend des gens. Vous prenez un rendez-vous, et à l’heure dite, je vous appelle.